Indication géographique et marque collective, des incontournables pour les produits agricoles ajourd’hui

 Indication géographique et marque collective, des incontournables pour les produits agricoles ajourd’hui
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Indication géographique (IG) et marque collective (MC) étaient à l’ordre du jour de l’atelier de renforcement des capacités qui s’est tenu lundi à Grand-Bassam  et qui a regroupé les acteurs des filières coton, anacarde, karité, cacao, hévéa, palmier à huile, manioc, banane plantain et riz.

L’objectif de cet atelier dont l’ouverture a été faite le lundi 13 juin 2022 par, est de permettre aux acteurs et parties prenantes des filières concernées de s’approprier ces outils pour le développement de leurs filières, la valorisation et la labélisation de leurs productions agricoles.

« L’adoption de ces démarches [de l’indication géographique et de la marque collective] présente des avantages tant économiques que sociaux qui se traduisent par le positionnement des produits et mets traditionnels sur les marchés régionaux et internationaux et par le développement des chaînes de valeurs agricoles. Par effet d’entraînement, les revenus des agriculteurs et des autres acteurs des filières agricoles se trouveront améliorés, ce qui contribuera à une amélioration des conditions de vie », a indiqué le conseiller technique du ministre de l’Agriculture et du développement rural, Bernard Kouamé.

 

En outre, elles permettent de répondre aux nouvelles tendances mondiales de production, de consommation et de distribution telles que la traçabilité, l’Appellation d’Origine protégée (AOP), l’Indication géographique protégée (IGP), ainsi que d’innombrables autres normes privées, a indiqué pour sa part l’ambassadeur de Côte d’Ivoire près la FAO, le FIDA et le PAM, Seydou Cissé.

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