Le plan de travail agricole du gouvernement de Côte d’Ivoire sur 2021-2023

 Le plan de travail agricole du gouvernement de Côte d’Ivoire sur 2021-2023
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Une méthode…. Vendredi, le Premier ministre de Côte d’Ivoire Patrick Achi, a clôturé le séminaire gouvernemental de trois jours sur le programme de travail du gouvernement (PTG) 2021-2023. Pour la première fois, une journée d’échanges avec le secteur privé s’est tenue, la dernière journée.  D’autre part, il a été souligné que l’ensemble des thématiques devaient être traitées selon une « approche résultats » : « prouver son utilité et rendre compte de ses réalisations », a-t-il été souligné dans le communiqué. « C’est pourquoi je demande aux membres du Gouvernement d’approfondir, en interne, leurs travaux afin de transmettre à la Primature, d’ici 8 jours, un tableau détaillé des réalisations prévues en 2021, avec des indicateurs de performance chiffrés et vérifiables », a précisé le Premier ministre.

De la déclaration finale et du communiqué, plusieurs éléments sont à souligner qui touchent ou traitent de l’agriculture, l’agro-industrie et du monde rural.

Il a été mentionné le démarrage des travaux des zones agro-industrielles dédiées à l’anacarde mais aussi, de façon générale, l’accroissement des unités de transformation des produits agricoles et l’intégration des matières premières ivoiriennes dans les chaînes de valeurs mondiales.

D’autre part, le communiqué relate la mise à disposition de services agricoles numériques à 300 000 agriculteurs enrôlés et enregistrés sur la plateforme des transactions agricoles.

Le Système d’observation et de suivi du travail des enfants en Côte d’Ivoire (SOSTECI) devra être étendu et la lutte contre la criminalité forestière, la faune et les ressources en eau devrait être intensifiée. En outre, les autorités poursuivront la délimitation des territoires de villages et la délivrance des certificats fonciers.

Il a aussi été fait référence à la production et la distribution alimentaire tant au niveau végétal qu’au niveau animal et halieutique, à la montée en puissance de l’industrie traditionnelle, l’accélération du développement des régions ainsi que les questions de forêts et d’environnement « pour mieux respecter nos équilibres naturels et humains ».

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