Nouvelle impulsion dans le partenariat entre la BAD et la FAO en faveur du secteur agricole en Afrique

 Nouvelle impulsion dans le partenariat entre la BAD et la FAO en faveur du secteur agricole en Afrique
Partager vers

La Banque africaine de développement (BAD) et la FAO se sont engagées hier à mobiliser plus de $100 millions sur cinq ans afin de soutenir les investissements dans le secteur agricole en Afrique. Ce nouveau pas dans le partenariat entre les deux instituions vise à améliorer la qualité et l’impact des investissements dans la sécurité alimentaire, la nutrition, la protection sociale, l’agriculture, la foresterie, les pêches et le développement rural. Il mettra notamment l’accent sur les investissements entre le secteur public et privé, cherchera à assurer un meilleur climat d’investissement et un meilleur taux de rendement et à mieux mobiliser des ressources.

La collaboration devra également inclure une aide technique dont l’objectif sera d’aider les Etats membres à concevoir et à mettre en Å“uvre des opérations de financement qui seront financées par la BAD, ajoute le communiqué conjoint des deux organisations. Cette assistance technique couvrira des domaines variés comme l’intensification et la diversification de l’agriculture durable, la promotion des innovations tout au long de la chaîne de valeur, la présence de davantage de jeunes au sein des agro-entreprises, les statistiques agricoles, l’agriculture intelligente face au climat, la Croissance bleue, la sécurité alimentaire, la nutrition, le système agroalimentaire, la sécurité alimentaire et les normes, l’autonomisation économique des femmes, la promotion d’investissements responsables de la part du secteur privé, la résilience, la gestion des risques et le renforcement des capacités pour les pays en transition.

Les activités conjointes de sensibilisation et de conseils politiques mettront notamment l’accent sur la promotion des Directives volontaires pour une gouvernance responsable des régimes fonciers applicables aux terres, aux pêches et aux forêts et sur les Principes du CSA pour un investissement responsable dans l’agriculture et les systèmes alimentaires, tous deux approuvés par le Comité de la sécurité alimentaire mondiale.

Autres Articles

Leave a Reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *