La Banque mondiale au chevet de l’impact climatique sur l’agriculture au Sénégal, le Ghana et le Mali

 La Banque mondiale au chevet de l’impact climatique sur l’agriculture au Sénégal, le Ghana et le Mali
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Le Sénégal, le Ghana et le Mali font partie des six pays en Afrique que la Banque mondiale va aider à renforcer la résilience de leur agriculture locale face aux menaces liées au changement climatique. Pour ce faire, elle a annoncé jeudi un don de $ 60 millions.

Ce nouveau projet, intitulé « Accélérer l’impact de la recherche climatique du CGIAR en Afrique » (ou AICCRA en anglais), s’inscrit dans le cadre de l’engagement pris par la Banque lors du sommet Action climat en 2019 d’augmenter son soutien au CGIAR, un partenariat mondial d’organisations internationales œuvrant dans la recherche sur la sécurité alimentaire, précise le communiqué.

Plus précisément, la Banque entend renforcer l’accès à des services d’information climatique et des technologies agricoles climato-intelligentes éprouvées en Afrique. Grâce à un meilleur accès à des services météorologiques associés à des informations sur les mesures efficaces à adopter, les agriculteurs et les éleveurs pourront mieux anticiper les événements climatiques et prendre des dispositions préventives pour préserver leurs activités productives et éviter des pertes dramatiques.

Le projet AICCRA sera administré par le Centre international d’agriculture tropicale, responsable du programme du CGIAR pour le changement climatique, l’agriculture et la sécurité alimentaire.

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